Pour la série qui vient, il m’a été proposé de découvrir un univers très dur mais beau, à la fonderie Nicolas de Nouzonville. J’ai pu assister au « balais » de plusieurs coulées, où tout est réglé comme une partition musicale : chaque geste est précis, chaque ouvrier arrive au bon moment pour faire sa part du travail, il n’y a aucun temps mort…
Passionné de belles photos, je me suis toujours émerveillé du travail des autres, sans penser que le mien pouvait avoir un intérêt. J'ai décidé de partager avec vous mes modestes clichés, principalement faits dans les Ardennes.
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mercredi 5 juillet 2017
Dans mon aventure photographique j’ai fait le choix de tout
photographier, quel que soit le sujet.
Pour la série qui vient, il m’a été proposé de découvrir un univers très dur mais beau, à la fonderie Nicolas de Nouzonville. J’ai pu assister au « balais » de plusieurs coulées, où tout est réglé comme une partition musicale : chaque geste est précis, chaque ouvrier arrive au bon moment pour faire sa part du travail, il n’y a aucun temps mort…
Pour la série qui vient, il m’a été proposé de découvrir un univers très dur mais beau, à la fonderie Nicolas de Nouzonville. J’ai pu assister au « balais » de plusieurs coulées, où tout est réglé comme une partition musicale : chaque geste est précis, chaque ouvrier arrive au bon moment pour faire sa part du travail, il n’y a aucun temps mort…
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